Karine Jean-Pierre
Karine Jean-Pierre est une conseillère politique américaine qui occupe le poste de secrétaire de presse de la Maison Blanche depuis le 13 mai 2022. Elle est la première personne noire et la première personne ouvertement LGBT à occuper ce poste. Auparavant, elle a été secrétaire de presse adjointe de son prédécesseur Jen Psaki de 2021 à 2022 et chef de cabinet de la candidate à la vice-présidence des États-Unis Kamala Harris pendant la campagne présidentielle de 2020.
Quelques événements clés concernant Karine Jean-Pierre
- 1997Diplôme de l'Institut de technologie de New York (B.S. en sciences de la vie)
- 2003Obtention d'une maîtrise en affaires publiques à l'école des affaires internationales et publiques de l'université de Columbia.
- 2006Directeur des affaires législatives et budgétaires pour James F. Gennaro, membre du conseil municipal de New York.
- 2008A travaillé en tant qu'analyste politique pour la campagne présidentielle de John Edwards.
- 2011Il devient directeur politique régional du Bureau des affaires politiques de la Maison Blanche.
- 2014Directrice de la campagne de Letitia James pour le poste de défenseur public de la ville de New York.
- 2016Nommée conseillère principale et porte-parole nationale de MoveOn.org
- 2019fait face à des critiques pour avoir défendu les commentaires de Joe Biden sur sa collaboration avec des sénateurs ségrégationnistes.
- 2020Rejoint la campagne présidentielle de Joe Biden en tant que conseillère principale.
- 2021Elle est nommée attachée de presse principale adjointe de l'administration Biden.
- 2021A reçu des critiques pour avoir affirmé que l'inflation était un « problème de classe ».
- 2022devient la première personne noire et la première personne ouvertement LGBTQ à occuper le poste de secrétaire de presse de la Maison-Blanche
- 2022critiqué pour avoir minimisé l'importance de l'entrée des États-Unis dans une récession technique
- 2022Accusé de fournir des réponses évasives ou incomplètes lors des points de presse de la Maison Blanche
- 2023Il fait l'objet d'un examen minutieux pour avoir initialement refusé de condamner les actes d'un tireur de l'école de Nashville en les qualifiant de « diaboliques »
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