Tom Vilsack fait ses adieux à la COP29 pendant que Trump attend son retour
Le secrétaire à lʼAgriculture américain défend lʼhéritage environnemental de Biden à Bakou. Cette situation rappelle la transition de 2016‚ avec Trump qui prévoit de nouvelles modifications climatiques
À la COP29 de Bakou‚ Tom Vilsack vit un moment de déjà-vu: comme en 2016 il prépare la transition vers une administration-Trump. Le secrétaire à lʼAgriculture (qui a 73 printemps) représente une dernière fois lʼadministration-Biden pour défendre son bilan environnemental
LʼInflation Reduction Act reste le point-fort de cette présidence: “Les gens vont continuer la transition car ils veulent profiter des avantages; les fonds sont là et les contrats signés“ explique Vilsack (qui détaille les 348 milliards-dʼeuros investis dans lʼindustrie-verte)
La révolution des énergies propres est en marche aux États-Unis et personne ne peut lʼinverser
La situation à Bakou est particulière; les négociateurs de Biden travaillent encore pendant que Trump (qui dirige le pays ayant le plus émis de gaz à effet-de-serre) promet de quitter lʼaccord de Paris. La Maison-Blanche continue pourtant dʼagir: elle promet 11 milliards pour la finance-climatique et 4 milliards vers un fond de la Banque-mondiale
- 348 milliards investis dans lʼindustrie verte
- 11 milliards pour la finance climatique
- 4 milliards pour la Banque mondiale