LʼÉtat iranien a dévoilé sa réponse à une résolution défavorable: des centrifugeuses high-tech sont désormais actives. Le vote à Vienne (qui sʼest déroulé il y a quelques jours) a vu 19 pays approuver un texte anglo-franco-allemand tandis que la Russie la Chine et le Burkina Faso sʼy sont opposés
Ces nouvelles machines (qui permettent dʼenrichir lʼuranium à grande vitesse) représentent un pas en avant technologique; lʼIran maintient toutefois sa collaboration avec lʼAIEA pour les inspections. Le pays affirme que son programme reste pacifique: lʼenrichissement servirait uniquement à produire de lʼénergie
- Signature de lʼaccord nucléaire avec 6 grandes puissances il y a presque 10 ans
- Retrait unilatéral américain sous Donald Trump il y a 6 ans
- Augmentation de lʼenrichissement dʼuranium à 60% depuis
- Limitation des inspections internationales depuis 3 ans
Le nouveau président Massoud Pezeshkian souhaite clarifier les intentions de son pays. Une visite récente du directeur de lʼAIEA Rafael Grossi aux sites de Natanz et Fordo montre une certaine ouverture - mais lʼombre dʼun possible retour de Trump début 2025 inquiète les observateurs
Notre coopération technique continuera comme par le passé