Lors du sommet du G20 à Rio hier le président argentin Javier Milei a marqué sa différence en rejetant plusieurs éléments de la déclaration commune (une position qui souligne son approche non-conventionnelle)
Le gouvernement argentin a précisé que son leader ultra-libéral ne soutient pas certains points-clés: la régulation de lʼexpression sur les médias-sociaux et lʼintervention gouvernementale contre la faim. Ces positions reflètent sa vision libertarienne qui privilégie le libre-marché
Le sommet‚ dirigé par le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva — avec qui Milei entretient des relations tendues; continue ses négociations jusquà aujourdʼhui. LʼArgentine participe tout en se dissociant partiellement du texte final
Milei défend une approche basée sur le libre-échange pour combattre la pauvreté. Après avoir initialement refusé de rejoindre lʼAlliance globale contre la faim (qui regroupe 82 nations) Buenos Aires a finalement changé dʼavis
Sur la question de la liberté dʼexpression‚ le président argentin sʼaligne avec Elon Musk et Donald Trump: il soppose fermement aux mesures de contrôle de la désinformation en-ligne