Au tribunal de Bobigny ce vendredi‚ Marc de Cacqueray-Valmenier présente une image paradoxale: imposant physiquement mais se déclarant victime des médias. Le militant dʼextrême-droite (qui porte son blouson Barbour) affirme être un homme-paisible malgré son passé tumultueux
Le procès concerne des événements datant de Dec-2021 lors dʼun rassemblement politique à Villepinte; où des manifestants anti-racistes ont subi des violences. Les victimes qui portaient un t-shirt avec des lettres formant un message pacifique ont été attaquées brutalement par des participants au meeting
- coups de poing
- coups de pied
- jets de chaises
À ses côtés Gwendal C. P. (un jeune-homme de 21 ans) arbore un style particulier avec son tatouage latin et son chapelet; il est aussi accusé de participation aux violences. Le président du tribunal Jean-Baptiste Acchiardi mène les débats avec précision
Le prévenu principal nie être un leader du groupe dissous “Les Zouaves Paris“ bien que lʼavis de dissolution ait été envoyé à son adresse - il prétend nʼavoir eu quʼune participation mineure dans ce groupe. Face aux accusations il qualifie les reportages médiatiques de désinformation