Le gouvernement argentin traverse une période de changement-radical dans sa politique étrangère. Diana Mondino‚ ex-ministre des Affaires étrangères a perdu son poste suite à un vote surprenant aux Nations unies (le vote annuel concernant lʼembargo américain contre Cuba)
A la fin octobre‚ lʼArgentine sʼest rangée aux côtés de 186 pays pour voter contre lʼembargo; une position qui ne correspondait pas aux attentes de Javier Milei — le président libertarien qui dirige le pays depuis fin-2023. Les États-Unis et Israël étaient les seuls opposants à cette résolution
- Audit complet du personnel diplomatique
- Identification des “ennemis de la liberté“
- Nouvelle orientation pro-américaine et pro-israélienne
- Réalignement idéologique strict
Le ministère fait face à une restructuration massive — un changement qui rompt avec la tradition du pluralisme diplomatique argentin. Karina Milei‚ la sœur du président (surnommée “le chef“) prend de plus en plus dʼimportance dans lʼadministration: elle dirige maintenant le parti La Libertad Avanza et influence directement les nominations ministérielles
Ceux qui ne sont pas en mesure dʼassumer les défis de la défense des idées de la liberté devront faire un pas de côté
Cette transformation reflète la vision du monde de Milei: une diplomatie alignée sur Washington et Tel Aviv‚ sans compromis ni divergence dopinion